Last updated on 7 septembre 2019
De certaines choses on ne se lasse pas.
D’Istanbul on redécouvre parfois certaines facettes. Des contraintes extérieures conditionnent les préférences. Les déplacements professionnels vous amènent tantôt sur une rive, tantôt sur l’autre, de mer en mer, d’Asie en Europe et vice-versa, de détroit en petite plage.
Et la ville, séductrice, est ainsi partout vêtue d’eau aux mille reflets. Chaque heure, chaque lumière, chaque nuage la fait différente et toujours fascinante.
Jusque dans la nuit, jusque dans la non-lumière où les eaux deviennent gouffre infini, univers immense sans étoile au milieu des lucioles humaines. Un écrin sur mesure, un écrin par défaut aux joyaux scintillants de toutes les rives.
28 janvier 2007