Sous les arbustes dénudés une tache de blanc.
Une jeune femme remonte le talus avec dans les mains un bouquet de fleurs sauvages.
Les perce-neiges sont si beaux et si odorants que pour un instant plus rien d’autre n’a d’importance. Tout est là, dans cet équilibre de beauté fragile, à la frange des montagnes.
11 février 2007