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Dans la série Il y a tout juste 10 ans – Archive Québec, 17 septembre 2009.
Pas besoin d’excuse pour aller au zoo boréal, c’est toujours un plaisir. Évidemment, y accompagner des visiteurs dont c’est la première visite est encore plus agréable. En automne quand le flux des touristes est un peu ralenti, on peut encore mieux parcourir les allées, rire de joie en observant les loutres, frémir à la vue des griffes des grizzly, adorer les pumas gracieux et admirer le carcajou. Autour des macaques faire des bonds sur les ponts balançants, deux gestes d’escalade, quelques sauts …
Le petit train des sentiers de la nature, qui serpente entre les bisons, les ours noirs, les chiens de prairie et autres caribous se vit comme un rêve éveillé. L’odeur de la rivière blanche de remous, le nez dans le vent. Les cris outragés des petits suisses, ces écureuils rayés tellement territoriaux qu’une grande partie de leur temps se passe à poursuivre de leurs imprécations les impudents outrepasseurs.
Le soleil sur la peau, la douceur de l’été indien finissant déjà ..
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