Skip to content

Une mer sans lune

Un nouveau roman

Trois mois pour écrire le premier jet d’un nouveau roman. Un peu moins de quatre-vingt dix jours, une température moyenne de trente degrés par jour. Quelques escapades en altitude pour fuir les pics de chaleur et la folie collective des fêtes locales. Une pincée de nature, un soupçon d’amitié, quelques fruits et légumes bien de saison, sans oublier les vieilles photos et les souvenirs revisités.

Un univers qui reste à explorer

Ces mois d’écriture ont connu leur lot de questionnements sans fin, de rencontres passionnantes, parfois émouvantes, et de jolies surprises. Plongée dans un monde virtuel. Retour dans l’univers de Soleil Gris, avec ses dilemmes, ses menaces, sa noirceur et des pertes immenses. Naissance et croissance de nouveaux personnages qui finissent par faire partie de la famille. Ce seront peut-être, après tout, les petits-enfants des mômes qui jouent ce soir au bout de la rue.

Des cultures anciennes qui refusent de disparaître complètement

L’histoire se déroule dans une Turquie dévastée par des cataclysmes autant que par l’inconséquence ou l’impuissance de l’espèce humaine. Quelques jeunes aventuriers se regroupent pour tenter de fuir devant l’approche d’une nouvelle menace. Les connaissances et les forces de chacun d’entre eux seront nécessaires s’ils veulent avoir une chance de survivre à un long exode. Et surtout, pour rester véritablement humains, il leur faudra trouver la force d’espérer en quelque chose par-delà le prochain jour, et le prochain pas.

La climate fiction, des changements climatiques qui se font livres

Une mer sans lune est un deuxième roman de climate fiction, qui explore un monde brisé par des cataclysmes, et apauvri par des pertes massives de population. La civilisation s’est une fois de plus effondrée, de la culture ne subsistent plus que des lambeaux épars, et les technologies les plus avancées ont disparu. Quand même aimer devient trop risqué, quand les plus jeunes confondent espoir et instinct de survie, que peut-il bien rester ?

Be First to Comment

Laisser un commentaire