Les montagnes lointaines barrent l’horizon de part en part. Les villages abandonnés ne sont plus que de minuscules assemblages de ruines qui disparaissent très sûrement. Le chemin se confond avec le lit d’un torrent désséché, et monte toujours, avant de bifurquer jusque sous la crête. Le vent fait son apparition, raffraichissant et avide d’arracher tout ce qui pourrait l’être sur son passage.